Philippe Descola : “Les Achuar traitent les plantes et les animaux comme des personnes” Les Indiens Achuar montrent qu’une autre relation à la nature est possible. Pour l’anthropologue Philippe Descola, il est temps de penser un monde qui n’exclut pas l’eau, l’air, les animaux, les plantes…
Il faut parfois partir, quitter son monde, pour mieux en cerner les contours. Il y a quarante ans, l'anthropologue Philippe Descola, aujourd'hui professeur au Collège de France, a laissé derrière lui Paris, la France et l'Europe pour une immersion de trois ans chez les Indiens Achuar, en Amazonie.
Les Achuar sont une population amazonienne Shuar (Jivaro) de quelque 18 500 individus situés de part et d'autre de la frontière entre le Pérou et l'Équateur. Pwanchir Pitu, shaman et chef spirituel du peuple Achuar.
Les Humains et les Arbres ont ce point commun, ou plutôt ce lien. Ils sont dans une dépendance unilatérale. Les humains dépendent des arbres mais pas l’inverse. Les arbres produisent l’oxygène que nous respirons, sans eux, l’air serait irrespirable. Ils filtrent le CO2 et régulent le climat, permettant de rendre la planète habitable. Laissez vous émerveiller par Vincent Munier :
Les Humains et les Arbres ont ce point commun, ou plutôt ce lien. Ils sont dans une dépendance unilatérale. Les humains dépendent des arbres mais pas l’inverse. Les arbres produisent l’oxygène que nous respirons, sans eux, l’air serait irrespirable. Ils filtrent le CO2 et régulent le climat, permettant de rendre la planète habitable. Laissez vous émerveiller par Vincent Munier :
Le chant des forêts
La vie m'a offert la chance de prendre conscience de cette réalité, voici une vidéo qui vous montrera un peu de :
Mon immersion amazonique

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