mardi 31 décembre 2013

2014, un air de liberté pour Oscar Lopez Rivera.

Nelson Mandela                                                                                              Oscar Lopez Rivera (1943)

Le photomontage est osé, mais il a ses raisons…..les deux personnages n'ont évidemment pas la même aura internationale, loin de là, mais lorsqu'on commence à s'intéresser à la vie de ce Porto-Ricain de 70 ans qui patiente depuis 32 ans dans les prisons des USA, on va de surprises en surprises…
On s'aperçoit que c'est un garçonnet de neuf ans qui laisse derrière lui Porto-Rico pour suivre sa famille aux États-Unis, à 14 ans il ira vivre avec sa sœur à Chicago, à 18 ans il sera pendant des années, soldat au Vietnam.
De retour avec sa médaille militaire, il découvre, en 1967, dans l'Illinois la réalité sociale déplorable de la diaspora Portoricaine. Il s'engage très activement dans un gigantesque travail pour améliorer la qualité de vie de cette communauté. Il semble être partout à la fois: Un lycée pour les Portoricains, un centre culturel, un combat pour une éducation bilingue, un accès à l'université, la fin de la discrimination dans les services publics (l'apartheid n'a pas été l'apanage que de l'Afrique du sud). IL a été l'un des fondateurs de l'école Rafaël Cancel Miranda, il a été également animateur de la première communauté du Nord-ouest (NCO) , ASSPA, ASPIRA, et de la première église congrégationelle de Chicago….Non ce n'est pas fini, attendez, il s'est battu pour créer FREE: un centre de semi-liberté pour des toxicomanes condamnés, et un centre éducatif pour les prisonniers latinos de la prison de Stateville dans l'Illinois.

Cette liste est longue, impressionnant, pour un homme qui en 1967 n'a que 24 ans, Elle est largement suffisante pour nous permettre d'apprécier l'invraisemblance d'une implication d'Oscar Lopes Rivera dans les attentats meurtriers commis par des indépendantistes portoricains au début des années 70. 


dimanche 22 décembre 2013

Une nouvelle famille

J'ai eu la chance depuis bientôt deux ans d'avoir été accepté dans une grande famille qui s'appelle: Global Voices
Voici le rapport annuel pour l'année 2012 de cette fondation, communauté ou mieux, réunion de bonnes volontés qui se donnent la main à travers le monde. Chacun apporte son grain de sable, sa goutte d'eau pour bâtir un monde meilleur et répondre à une soif de justice et de vérité. Paix sur la terre aux hommes de bonne volonté!