vendredi 18 août 2023

Un voyage à Nantes, l'univers opéra!



A

Un épisode de mon voyage à Nantes 2023, sur les grilles du square situé derrière le musée d'histoire naturelle! Honnêtement, j'ai surtout aimé la poésie de son texte!

Henri Dumoulin



"Où sont passés les infinitésimaux de la gravité quantique ?

Un trou noir engendre un trou de verre d'où nait un trou blanc.

Ce trou blanc donne naissance à l'univers, à ce géant qui ne demande qu'à grandir, on donne le nom de big-bang.


Au commencement est le mouvement !

En un clin d'œil, l'inflation cosmique prend des proportions que même notre imagination ne peux concevoir. L'énergie se transforme en matière. Une poussière devient une étoile. Un grain de riz devient une galaxie, une goutte, un océan, une orange bleue devient l'univers.




Descendre l'espace-temps par l'escalier de secours.

Le début du temps. 380 000 ans après le big-bang, la lumière entre en jeu. Dans les coulisses spatio-temporelles de l'univers, la chute des corps est déjà perdu. Ça choit sans tomber, ça vole sans ailes. L'espace-temps se tend sur les toiles cosmique, s'étend d'étoiles en étoiles, s'expanse  dans la démesure.


Au grand bazar céleste, la soupe est primordiale.

Le feu atomique crée l'eau de vie, ivre d'infini, arrosé de lumière, le tout se met à danser. 9 milliards d'années après le big-bang, nait notre soleil, s'assemblent autour de lui, huit planètes dont la terre. Sur notre flèche du temps, sommes-nous uniquement de simples support d'information de ce que nous sommes, d'où vient ce que nous savons ? 




Le labyrinthe de l'ADN l'inextricable jeu du vivant est sans fin.

Dans le jeu du vivant, tout ce qui bouge se meut différemment selon les lois de la gravité. Dans l'espace ou dans l'eau, une onde émise provoque une série de vagues d'informations à l'entour. L'ADN, mémoire d'onde, point de départ de l'information, diffuse les arc-en-ciel ininterrompus du vivant, eau et lumière confondues.




Le voyage des extrêmophiles dans les pareidalies les plus folles.

Tout est permis quand il faut survivre, s'adapter, se reproduire, croître coûte que coûte. Pour exister, remplir sans cesse un vide. Pour exister, créer sans cesse l'impossible. Pour exister, inventer l'improbable. Et Théia dans tout ça? 





Montée de fluide dans les circuits de la photosynthèse.

La sève, ce sang que les arbres produisent, alimente nos veines en oxygène. Ainsi va la sève dans la suite de Fibonacci. D'ombres d'or en fils d'argent, elle colore l'écorce terrestre.


L'inéluctabilité de la vie, y a-t-il un jour J de la cellule ?

Spirale ou vortex, ainsi vont les mondes et la vie, produisant sans cesse de l'identique. Défier le temps, conquérir l'espace, explorer les matrices.



Où vont les sentiments des fleurs quand elles se fanent ?

Leurs plus beaux habits sont les couleurs, elles fleurissent la reproduction, sympathisent avec la différence, elles embellissent et parfument l'espace, les belles endormies font de chaque nuit nos plus beaux jours.


Le bio mimétisme, la porte ouverte aux avatars, il suffit d'une empathie 

vertigineusement incroyable pour être ce que l'autre a été.


Du vol à la métamorphose, les insectes, success story dans notre planète. Efficience des formes, les insectes pullulent tant et tant qu'aucun endroit ne leur échappe.


Les animaux peuplent la planète. Nous sommes tous des mammifères sur les étagères des primates, dans l'arbre du vivant, les branches touchent le ciel de nos imaginaires.


Les hominidés sont en coulisses. De l'intelligence à la conscience, le cerveau fait corps avec la nature, il invente le temps et modifie l'espace.


Les prémices de l'écriture, le signe. Empreinte et graphie, deux trais barrés, l'écriture est en marche. Signature d'une présence, naissance abstraite de la conscience de l'être humain. L'Humanité en marche, les espèces du genre Homo arpentent la planète, au gué, Sapiens.

Pouponnière d'étoiles. Du géocentrisme à l'héliocentrisme, du centre galactique au fond diffus cosmologique, le centre n'existe plus, plus de centre pour satisfaire l'égocentrisme, l'infini ouvre à jamais l'espace-temps de l'imaginaire humain.


Nouveaux horizons. Le trait du temps qui passe courbe l'espace. Qui tire la flèche du temps ? La vieillesse est-elle programmée tout comme l'adolescence ?


Les couleurs sont les filles de la lumière, le lien qui relie l'espace et le temps vient de la lumière.


La beauté sauvera le monde! Laniakea: cartographier l'infini, existe-t-il un océan pour les grands fleuves cosmiques? "



C'est l'incroyable histoire de Chromo Sapiens

De l'infiniment grand à l'un infiniment Petit

Images et textes de Philippe Naud






 Une petite offrande







Un épisode de mon voyage à Nantes 2023, sur les grilles du square situé derrière le musée d'histoiret,' 



"Où sont passés les infinitésimaux de la gravité quantique ?

Un trou noir engendre un trou de verre d'où nait un trou blanc.

Ce trou blanc donne naissance à l'univers, à ce géant qui ne demande qu'à grandir, on donne le nom de big-bang.


Au commencement est le mouvement !

En un clin d'œil, l'inflation cosmique prend des proportions que même notre imagination ne peux concevoir. L'énergie se transforme en matière. Une poussière devient une étoile. Un grain de riz devient une galaxie, une goutte, un océan, une orange bleue devient l'univers.




Descendre l'espace-temps par l'escalier de secours.

Le début du temps. 380 000 ans après le big-bang, la lumière entre en jeu. Dans les coulisses spatio-temporelles de l'univers, la chute des corps est déjà perdu. Ça choit sans tomber, ça vole sans ailes. L'espace-temps se tend sur les toiles cosmique, s'étend d'étoiles en étoiles, s'expanse  dans la démesure.


Au grand bazar céleste, la soupe est primordiale.

Le feu atomique crée l'eau de vie, ivre d'infini, arrosé de lumière, le tout se met à danser. 9 milliards d'années après le big-bang, nait notre soleil, s'assemblent autour de lui, huit planètes dont la terre. Sur notre flèche du temps, sommes-nous uniquement de simples support d'information de ce que nous sommes, d'où vient ce que nous savons ? 




Le labyrinthe de l'ADN l'inextricable jeu du vivant est sans fin.

Dans le jeu du vivant, tout ce qui bouge se meut différemment selon les lois de la gravité. Dans l'espace ou dans l'eau, une onde émise provoque une série de vagues d'informations à l'entour. L'ADN, mémoire d'onde, point de départ de l'information, diffuse les arc-en-ciel ininterrompus du vivant, eau et lumière confondues.




Le voyage des extrêmophiles dans les pareidalies les plus folles.

Tout est permis quand il faut survivre, s'adapter, se reproduire, croître coûte que coûte. Pour exister, remplir sans cesse un vide. Pour exister, créer sans cesse l'impossible. Pour exister, inventer l'improbable. Et Théia dans tout ça? 





Montée de fluide dans les circuits de la photosynthèse.

La sève, ce sang que les arbres produisent, alimente nos veines en oxygène. Ainsi va la sève dans la suite de Fibonacci. D'ombres d'or en fils d'argent, elle colore l'écorce terrestre.


L'inéluctabilité de la vie, y a-t-il un jour J de la cellule ?

Spirale ou vortex, ainsi vont les mondes et la vie, produisant sans cesse de l'identique. Défier le temps, conquérir l'espace, explorer les matrices.



Où vont les sentiments des fleurs quand elles se fanent ?

Leurs plus beaux habits sont les couleurs, elles fleurissent la reproduction, sympathisent avec la différence, elles embellissent et parfument l'espace, les belles endormies font de chaque nuit nos plus beaux jours.


Le bio mimétisme, la porte ouverte aux avatars, il suffit d'une empathie 

vertigineusement incroyable pour être ce que l'autre a été.


Du vol à la métamorphose, les insectes, success story dans notre planète. Efficience des formes, les insectes pullulent tant et tant qu'aucun endroit ne leur échappe.


Les animaux peuplent la planète. Nous sommes tous des mammifères sur les étagères des primates, dans l'arbre du vivant, les branches touchent le ciel de nos imaginaires.


Les hominidés sont en coulisses. De l'intelligence à la conscience, le cerveau fait corps avec la nature, il invente le temps et modifie l'espace.



Les prémices de l'écriture, le signe. Empreinte et graphie, deux trais barrés, l'écriture est en marche. Signature d'une présence, naissance abstraite de la conscience de l'être humain. L'Humanité en marche, les espèces du genre Homo arpentent la planète, au gué, Sapiens.

Pouponnière d'étoiles. Du géocentrisme à l'héliocentrisme, du centre galactique au fond diffus cosmologique, le centre n'existe plus, plus de centre pour satisfaire l'égocentrisme, l'infini ouvre à jamais l'espace-temps de l'imaginaire humain.






Nouveaux horizons. Le trait du temps qui passe courbe l'espace. Qui tire la flèche du temps ? La vieillesse est-elle programmée tout comme l'adolescence ?


Les couleurs sont les filles de la lumière, le lien qui relie l'espace et le temps vient de la lumière.


La beauté sauvera le monde! Laniakea: cartographier l'infini, existe-t-il un océan pour les grands fleuves cosmiques? "



C'est l'incroyable histoire de Chromo Sapiens

De l'infiniment grand à l'un infiniment Petit

Images et textes de Philippe Naud