Il y eut un soir, il y eut ce matin, et je vis septante sept au compteur de la vie, comme un qui est ici François, vit s'afficher septante, comme d'autres un peu moins, augustes rejetons......et je vis que cela était bien, le ciel était charmant, le soleil me chauffait, le vent me fouettait, la pluie me mouillait, le froid me piquait, on était dans le mois où la nature est douce, les collines ayant des lys sur leur sommet, une immense bonté tombait du firmament..........bon ça suffit, je pars en dérive , c'est pas moi, c'est Victor Hugo.
Si j'étais poète, aujourd'hui, je me lèverais, je déclamerais peut-être quelques vers propres à illustrer la fuite du temps ......ainsi toujours poussés vers de nouveaux rivages, ne pourrons nous jamais sur l'océan des âges, jeter l'ancre un seul jour....et puis encore un truc du genre :"ô temps, suspends ton vol, et vous heures propices, laissez nous savourer les rapides délices des plus beaux de nos jours....l'homme n'a point de ports, le temps n'a point de rives, il coule et nous passons...." Peu importe après tout, si : "le vent qui gémit, le roseau qui soupire, les parfums léger de ton air embaumé, tout ce qu'on entend, l'on voit où l'on respire, tout dise : " ils ont aimé." 
Mais je ne suis point Alphonse de lamartine, et je souhaite simplement:" Un bon anniversaire aux aoûtiens!
17 avenue de Baccarat, 27 rue de Nancy à Nantes, 9 rue Simone de Beauvoir à St Herblain ..
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