vendredi 13 juillet 2018

Historias





El tiempo pasa sin prisa 
En la noche o en el Alba
Y se le ve transcurir
Como si fuera un fantasma

Le temps passe , sans presse
Dans la nuit ou à l'aube
On le voit déambuler 
Comme si c'était un fantôme.

A veces , es como un río 
Que va , cantando su lágrima
Y cuando nadie lo mire
Assume la madrugada

Parfois c'est comme un fleuve
Qui chante ses larmes
Et, quand personne ne le voit, 
Assume un petit matin

Empezó en el infinito
Cuando los hombres no estaban
Y en el aire andaban sueltas
La congojas como espadas

Il commença dans l'infini
Quand les hommes n'étaient pas.
Dans les airs volaient librement 
Les angoisses, comme des glaives.




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