El tiempo pasa sin prisa
En la noche o en el Alba
Y se le ve transcurir
Como si fuera un fantasma
Le temps passe , sans presse
Dans la nuit ou à l'aube
On le voit déambuler
Comme si c'était un fantôme.
A veces , es como un río
Que va , cantando su lágrima
Y cuando nadie lo mire
Assume la madrugada
Parfois c'est comme un fleuve
Qui chante ses larmes
Et, quand personne ne le voit,
Assume un petit matin
Empezó en el infinito
Cuando los hombres no estaban
Y en el aire andaban sueltas
La congojas como espadas
Il commença dans l'infini
Quand les hommes n'étaient pas.
Dans les airs volaient librement
Les angoisses, comme des glaives.
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